Anne-Elisabeth Lemoine et David Hallyday en 2002.
Capture écran.

Le divertissement de Faustine Bollaert s’est amusé à ressortir une séquence datant des débuts télévisés de la journaliste qui anime aujourd’hui «C à vous» sur France 5.

«Ce que j’aime, c’est votre stoïcité», s’exclame Faustine Bollaert  dans «Les enfants de la télé». S’il est d’ordinaire que les invités se confrontent à «leurs casseroles», leurs passages gênants à la télévision, Anne-Elisabeth Lemoine, qui ne figure pourtant pas autour de la table ce soir sur France 2, a dû avoir les oreilles qui ont sifflé ce dimanche 2 novembre.

Toutes les interviews ne se réalisent pas dans les meilleures conditions. Une victoire sportive, les balances d’un concert. Parfois celui ou celle qui est envoyé sur le terrain peine à entendre son retour lors de duplex. Résultat, ils s’époumonent face à la caméra. «Vous, vous y avez été confronté David Hallyday», débute Faustine Bollaert avant de préciser : «Une journaliste qui avait vraiment envie de se faire entendre et qui n’hésitait pas à crier un peu fort. Vous la connaissez très bien.»


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Des archives de 2002

Les images datent de 2002 et sont extraites du talk-show «On ne peut pas plaire à tout le monde», animé par Marc-Olivier Fogiel sur France 3. Anne-Elisabeth débute à cette époque, bien avant d’animer «C à vous» chaque soir sur France 5. Vêtue de rouge, la journaliste se montre très enthousiaste face au fils de Johnny Hallyday. «Bientôt, comme papa, David mettra le feu à la Tour Eiffel», hurle-t-elle dans son micro. Le principal intéressé, lui, reste silencieusement poli.

Anne-Elisabeth Lemoine empoigne ensuite le chanteur, en déclamant toujours avec un niveau de décibels à la limite du supportable : «Vous êtes jalouse Ariane ?» La jeune journaliste s’adresse à Ariane Massenet, coprésentatrice durant les quatre premières saisons d’«On ne peut pas plaire à tout le monde», avant que Guy Carlier ne prenne sa succession jusqu’à la fin du programme.

La production des «Enfants de la télé» n’épargne pas leur consœur, dont le nom n’est jamais cité, puisque la séquence se conclut par une ampoule qui casse au son de sa voix stridente. Gentleman, David Hallyday n’enfonce par Anne-Elisabeth Lemoine directement, mais souligne: «La tête que je fais». Le reste du plateau est plus cruel : «vous êtes hyperzen.»