Des responsables de l’Union européenne (UE) ont pu être identifiés à partir de ces données mises en vente en ligne par des courtiers.

L’Echo a réussi à mettre des noms sur ces données pourtant « anonymes » et à observer les habitudes de vie d’au moins cinq personnes qui travaillent ou ont travaillé pour l’UE. Trois d’entre elles occupent des postes à haute responsabilité.

Avec ce traçage rendu possible, les institutions et les entreprises critiques situées en Belgique sont potentiellement menacées. La mise à nu des habitudes d’employés de structures critiques peut constituer une menace pour leur propre sécurité, mais aussi pour celle de leur employeur.