On efface tout et éventuellement on recommence. Voici la promesse de CrtlZ.

Cliente nancéienne, Océane a franchi le pas-de-porte de la nouvelle enseigne spécialisée dans le détatouage au laser, installée rue des Carmes : « J’étais un peu jeune, 18-19 ans, lorsque j’ai fait sur mon bras un petit tatouage avec mon amoureux de l’époque. Aujourd’hui, je n’en veux plus. J’avais vu des vidéos mais j’avais un peu d’appréhension avant de franchir le cap. Je ne cache pas que ce n’est pas une partie de plaisir, la douleur dure le temps de l’acte. Pendant la cicatrisation, cela ressemble à une petite douleur de brûlure.  »

Le laser fragmente le pigment de coloration qui sera ensuite naturellement éliminé par le corps.

À raison de cinq séances, facturées 65 € par acte, cette trentenaire a retrouvé sa peau initiale au bout de quelques semaines.

Le détatouage s’est ainsi installé en nouvelle pratique hors champ de la dermatologie. La chute du nombre…