Rien à voir avec une bouche de sortie de métro porte de la Chapelle, à Paris, où la vente de cigarettes à la sauvette est totalement décomplexée.
À Nancy, rue Saint-Nicolas, les vendeurs sont plus sur la retenue et n’ont pas leur pareil pour flairer un client potentiel, selon l’heure de la journée. « Le vendredi et samedi soir, avant que les noctambules partent en soirée, c’est parfois le supermarché à ciel ouvert… », observe un policier, en fin connaisseur du bitume nancéien qu’il arpente depuis une quinzaine d’années.
10 € dans la rue et 15,65 € au bureau de tabac
Le paquet de…