Une perquisition a été menée au palais de justice de Marseille le 5 novembre dernier dans el cadre d’une enquête sur la disparition de 360 kilos de cocaïne. MAGALI COHEN / HANS LUCAS VIA AFP
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Depuis le printemps dernier, les enquêteurs de l’IGPN, la police des polices, tentent de remonter le fil des responsabilités dans l’affaire « Trident », la disparition au printemps 2023 de 360 kilos de cocaïne dans la cité phocéenne. Une drogue arrivée en France depuis la Colombie sous forme de « livraison surveillée », c’est-à-dire qu’elle aurait dû permettre à l’Ofast (office anti-stupéfiants) d’arrêter les commanditaires de la cargaison. A la place, la marchandise s’est tout simplement volatilisée, sans qu’aucune arrestation ne soit menée, déclenchant un scandale qui ne cesse depuis d’éclabousser les services de lutte contre le narcotrafic en France. Depuis le printemps dernier, cinq policiers de l’antenne Ofast de Marseille ont été mis en examen dont la numéro 1 et son adjoint.
Ce mercredi 5 novembre, selon des informations du « Nouvel Obs », la juge d’instruction parisienne en charge du dossier accompagnée de policiers de l’IGPN ont cette fois perquisitionné les bureaux d’Isabelle C., la magistrate du parquet de Marseille en charge de suivre l’opération « Trident » et spé…
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