Avant de devenir l’une des voix les plus douces de la chanson
française, Joyce Jonathan s’est d’abord fait
connaître sur MySpace. À seulement 16 ans, elle partageait déjà ses
propres compositions sur le réseau, attirant l’attention de
Michael Goldman, futur directeur de la Star
Academy et fils du célèbre Jean-Jacques
Goldman. Son talent et sa détermination la conduisent à
sortir un premier album en 2010, marquant le début d’une carrière
prometteuse portée par des textes sincères et une sensibilité
rare.
Après plusieurs années plus discrètes, la chanteuse a signé un
retour remarqué avec son titre « Si je mange, je vais en enfer » il y
a quelques mois. Dans ce morceau poignant, l »artiste se
confie sur
ses années de combat contre l’anorexie et la boulimie, un sujet
qu’elle aborde avec émotion dans le podcast
« Contre-addictions ». Une manière pour elle de
transformer la douleur en art et d’inspirer celles
et ceux qui traversent les mêmes épreuves.
Joyce Jonathan, du tumulte dans sa vie privée
Sous le soleil corse, Joyce Jonathan a récemment offert à ses
abonnés un aperçu d’un bonheur simple. Entre les paysages de
Porto-Vecchio et le golfe de Pinarello, l’artiste a partagé sur
Instagram des instants de détente en compagnie de Gabriel
Attal. Leur complicité, évidente sur les clichés, a séduit
les internautes. Malgré la curiosité du public, la chanteuse reste
fidèle à sa réserve habituelle lorsqu’il s’agit de sa vie privée.
Celle qui a connu une histoire médiatisée avec Thomas Hollande,
puis une relation avec Gabriel Diefenthal, a
confié à propos de Gabriel Attal : « Je suis très fière de lui,
il est exemplaire et il donne beaucoup d’espoir à la jeunesse
». Cette parenthèse corse semble traduire une période plus paisible
et plus équilibrée pour l’artiste.
Pourtant, cette sérénité a été durement acquise. La trentenaire
s’est longtemps sentie étouffée par l’attention médiatique
entourant sa relation avec Thomas Hollande. Elle se souvient : «
On était un peu paparazzés, quand on allait déjeuner, en
vacances. Ce qui était un peu troublant, c’est que parfois, j’avais
l’impression de plus être la petite copine de Thomas Hollande que
la chanteuse ».
Une exposition constante qu’elle a mal vécue, comme elle
l’expliquait déjà dans Thé ou Café. « Le fait que
ce soit partagé, de voir mes photos de vacances dans un magazine
plutôt que dans mon album photos, ce n’était pas très
agréable. Et je pense que c’est ce qui fait que ça n’a pas
duré finalement ». Cette expérience l’a poussée à
redéfinir ses priorités et à privilégier des relations plus
sincères, loin des projecteurs.
Sa fille, sa priorité
Ces derniers mois, Joyce Jonathan a franchi une nouvelle étape
dans sa vie personnelle. Séparée de Martial Paoli,
le père de sa fille Ghjulia, la chanteuse
découvre désormais le quotidien d’une maman solo. Invitée dans
Les Grosses Têtes sur RTL, elle a confirmé cette
rupture… Avant d’en dire plus dans une interview pour Lou Media.
Dans une vidéo publiée sur Instagram, elle confie avec franchise
qu’« il faut être très organisée quand on vit seule avec un
enfant ».
Chaque journée est minutieusement planifiée, comme elle le
raconte : « Quand je dépose ma fille à l’école, je sais tous
les trucs que j’ai à faire et j’ai une liste ». Elle s’impose
même un « top 3 des priorités » afin de rester efficace. «
Et puis si je n’ai pas eu le temps de faire le reste, je
bascule sur le jour suivant. Mais je suis très organisée
dans ma tête, sinon je n’arrive pas au bout des choses ».
Malgré les défis, l’interprète de Ça ira
garde une attitude positive face à cette nouvelle vie. La chanteuse
voit aussi la séparation comme une redécouverte de soi et de sa
liberté.
« Quand tu te sépares, tu redécouvres ta vie de femme et le
fait de te dire : Là, j’ai du temps libre ! » avoue-t-elle
avec un sourire complice. Un sentiment encore étrange après des
années entièrement consacrées à sa fille. « C’est très curieux
d’avoir du temps libre quand tu es maman ». Une chose est
sûre, Joyce Jonathan semble prête à profiter pleinement de
cette nouvelle page.
Joyce Jonathan dévoile son cocon
parisien au charme discret
Lors d’une soirée organisée par la marque Longchamp au Pavillon
Gabriel, Joyce Jonathan a surpris ses fans en ouvrant les portes de
son appartement parisien à Paris Match. D’ordinaire
réservée, l’artiste de 36 ans a révélé un intérieur à son image, à
la fois simple et élégant. Dans ce duplex lumineux, chaque détail
respire la sérénité. La cuisine ouverte, baignée de lumière,
s’intègre parfaitement au salon, où tout semble pensé pour
allier confort et sobriété. Peu d’objets, des murs
immaculés, et quelques accessoires assortis comme le grille-pain et
la bouilloire viennent compléter l’ensemble.
L’atmosphère chaleureuse du séjour reflète son goût pour les
espaces épurés et les matières naturelles. Au milieu des jouets de
sa fille trônent un canapé moelleux, des poufs blancs et une table
basse en bois brut… Autour desquels s’articulent plusieurs cadres
décoratifs. Les grandes baies vitrées offrent une vue
saisissante sur les toits de Paris… Ajoutant à ce havre
de paix une touche d’évasion et de poésie.