transfert – Le zoo de Beauval accueillera en 2027 les onze dauphins du delphinarium de Planète Sauvage. Le parc animalier de Loire-Atlantique estime qu’il s’agit de la meilleure solution pour ses cétacés
Une structure « durable », « responsable » et « utile », c’est ce que prévoit le zoo de Beauval (Loir-et-Cher) pour améliorer la situation des animaux et notamment des cétacés de Marineland (Alpes-Maritimes) et Planète Sauvage (Loire-Atlantique) d’ici mars 2027.
Le parc animalier de Port-Saint-Père, situé près de Nantes, est le dernier site français à présenter des dauphins au public. Dans le cadre de la loi de 2021 qui interdit, à partir de décembre 2026, les spectacles de cétacés, son delphinarium, ouvert depuis seize ans, sera définitivement fermé et les onze dauphins transférés dans le Loir-et-Cher. Et ce malgré un programme de recherche scientifique qui prévoyait initialement la conservation des mammifères marins en Loire-Atlantique après cette date.
« La meilleure structure possible »
« Pour nous, c’est une opportunité que les dauphins rejoignent cette institution », estime Clémentine Amar, responsable communication de Planète Sauvage. « Le transfert va permettre d’offrir la meilleure structure possible aux espèces et de poursuivre les missions de recherche scientifiques lancées depuis 2008 au sein de Planète Sauvage », considère-t-elle, « ce projet a une dimension que nous n’aurions pas pu offrir aux dauphins ».
Le projet validé par le programme d’échange européen est décrit comme la « solution pour éviter le pire des scénarios pour ces douze dauphins », selon la présidente de l’ONG Sea Shepherd Lamya Essemlali. Avec cette structure, « on maintient les animaux en Franc(…)
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