Circulez, il n’y a rien à voir. Lorsqu’on interroge Sébastien Barles sur la cohérence entre une alliance avec LFI, validée par son collectif Vaï le 6 novembre, et le fait de rester adjoint au maire Benoît Payan (DVG), probable candidat en mars – avec le PS, EELV et le PCF mais sans LFI, qui ne participe pas à sa majorité -, l’élu des 1er-7e assume. « Je défends le projet porté en 2020 pour transformer ce territoire, je continue mon boulot d’adjoint à la transition écologique, défend-il. En revanche, je porte un regard critique sur notre bilan collectif, la question écologique, l’oxygénation démocratique. »
Un pied dedans, un pied dehors et une situation qui interpelle à droite, où on a fait de La France insoumise la « ligne rouge » à ne pas franchir pendant ces municipales. « Quand des adjoints de Sylvain Souvestre (LR) ou Anne-Marie d’Estienne d’Orves (DVD) rejoignent le RN, ils perdent immédiatement leur délégation. Qu’est-ce que ça veut dire que M. Barles, cinq jours après s’être allié à LFI, soit toujours adjoint ? A minima, ça traduit une hésitation de M. Payan », expose Romain Simmarano (Renaissance), porte-parole de Martine Vassal.
« Est-ce que cette réflexion vaut aussi pour la Métr…