« C’est mon calendrier, c’est moi qui décide ! », s’irritait, mi-octobre, Renaud Muselier, alors que des journalistes l’aiguillonnaient sur d’éventuelles réticences de l’état-major parisien à soutenir la candidate, eu égard à l’enquête judiciaire ouverte pour détournement de fonds et trafic d’influence ou à ses prises de position très droitières. « Je suis le plus capé, le plus expérimenté, c’est moi qui ai le plus gros mandat. Je suis membre du bureau exécutif de …