Près de 3000 personnes victimes de blessures ou d’un préjudice à cause de la présence de ces airbags défectueux dans leur véhicule sont déjà réunies dans cette procédure collective.

L’action collective des automobilistes lésés par la présence d’un airbag Takata dans leur véhicule va être élargie. Jusqu’alors réservée aux propriétaires de Citroën C3 et DS3, la procédure en justice va être étendue à plusieurs dizaines de nouveaux modèles, annonce au Figaro Me Christophe Lèguevaques ce jeudi 13 novembre. Cela concerne des véhicules des groupes Stellantis, BMW, Toyota et Volkswagen (voir liste complète ci-dessous), visés par l’enquête judiciaire ouverte en France et faisant partie de la longue liste de voitures visées par la campagne de rappel.

Avec une première plainte déposée en juillet 2024 et déjà 2900 personnes rassemblées, cette action collective se veut une épine dans le pied des constructeurs éclaboussés par le scandale Takata. Ces airbags défectueux produits par un fournisseur japonais (qui a depuis fait faillite) sont remplis de nitrate d’ammonium, un gaz qui se dégrade avec le temps faisant courir un risque d’explosion.

Une vingtaine de morts en France

Rien qu’en France, près d’une vingtaine…

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