Même si l’enjeu a disparu depuis la victoire contre l’Ukraine, l’équipe de France de football affronte l’Azerbaïdjan pour son dernier match de qualification pour la Coupe du monde 2026. Les Français sont assurés de finir en tête de leur groupe et de voir l’Amérique l’été prochain. Une revanche pour le sélectionneur, Didier Deschamps.
Depuis ce jeudi 13 novembre, l’équipe de France de football a validé son ticket pour la Coupe du monde 2026 qui se déroulera aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Il reste un dernier match à disputer pour les hommes de Didier Deschamps, contre l’Azerbaïdjan ce dimanche, à 18 heures. Une revanche pour le sélectionneur.
La suite après cette publicité
La suite après cette publicité
« Je n’ai pas eu l’occasion de voir l’Amérique quand j’étais joueur. Donc beaucoup de fierté »
Car le 17 novembre 1993, au Parc des Princes, le rêve américain de Didier Deschamps se transforme en cauchemar. Lui qui était titulaire lors de la défaite face à la Bulgarie, synonyme de non-qualification pour la Coupe du monde 1994 aux États-Unis.
L’ancien capitaine de l’équipe de France y a fait référence en conférence de presse : « Je n’ai pas eu l’occasion de voir l’Amérique quand j’étais joueur. Donc, il y a beaucoup de fierté (à y aller en tant qu’entraîneur ndlr), bien évidemment. Je ne suis pas un grand expressif, je le reconnais. Oui, j’apprécie, il faut apprécier ses moments-là. On y sera ».
La suite après cette publicité
La suite après cette publicité
Depuis sa nomination en 2012 à la tête des Bleus, son bilan est irréprochable dans les compétitions internationales. Sept tentatives pour sept qualifications, un sans-faute donc. Après 14 années passées à la tête de l’équipe de France, le plus long mandat de l’histoire de la sélection, Didier Deschamps passera la main, probablement à l’icône Zinedine Zidane, grandissime favori pour lui succéder.
Mais d’ici là, Deschamps n’a qu’un objectif : offrir à la France une troisième étoile et sceller définitivement sa légende dans le football tricolore.