Un dimanche à la campagne est revenu ce dimanche 16 novembre sur France 2 à 16h05. La semaine précédente, le numéro avec Garou, Sylvie Testud et Éric Dupond-Moretti a réuni devant leur écran plus de 2 millions de téléspectateurs. Pour ce nouvel épisode, Frédéric Lopez recevait un trio aux activités très différentes : le chanteur français, recordman des NRJ Music Awards, Matt Pokora, l’humoriste Marine Léonardi qui a plaqué sa vie de jeune cadre dynamique pour se lancer dans le stand-up et le champion de cécifoot Hakim Arezki.
Matt Pokora évoque sa passion pour Michael Jackson dans Un dimanche à la campagne
Très vite, l’animateur Frédéric Lopez a amené ses invités dans le grenier, un lieu dans lequel le chanteur a retrouvé les jouets de son enfance disposés sur un bureau, avec un album de Michael Jackson. L’occasion pour lui d’exprimer sa passion pour l’icône de la pop qui lui a donné envie de faire ce métier. « Dès ma plus petite enfance je me dis que j’aimerais être sur scène et que les autres me regardent comme moi je regarde Michael Jackson », explique le Strasbourgeois à Frédéric Lopez.
« Ça a impacté ma vie d’artiste » : Matt Pokora revient sur sa carrière ratée dans le football
Après avoir expliqué pourquoi il avait voulu faire de la scène, il a raconté comment son premier rêve, à savoir devenir footballeur, avait pris fin. « À 16 ans, j’ai un recruteur de Sedan, qui à l’époque est en Ligue 1, qui m’emmène faire un essai. C’est les vacances de Pâques, mon père me dit : « tu as intérêt à te préparer physiquement ». Sauf que moi, je partais la première semaine avec ma mère en Italie dans un camp de vacances. Évidemment, arrivé là-bas je n’ai rien fait à part un petit foot avec les animateurs », raconte l’époux de Christina Milian.
Un dimanche à la campagne sur France 2 : voici l’échec qui hante Matt Pokora
Un manque de préparation qui lui a coûté cher : » Le dernier jour c’est le match. En première mi-temps, je défends sur un jeune qui venait de Clairefontaine, qui s’entraînait déjà avec les pros, donc je passe la mi-temps à lui courir après. La deuxième mi-temps, ils me font monter à mon vrai poste, ailier droit, et là je n’ai plus rien dans les jambes. Donc je rate mon match d’essai ».
Cet échec a fait de lui le performeur et le professionnel qu’il est : « Ça a été un trauma pour moi car je n’étais pas prêt le jour où il fallait. Ça a impacté ma vie d’artiste aujourd’hui. Maintenant je m’entraîne tout le temps, même quand je ne suis pas en tournée. Je m’en veux énormément », conclut-il.