Malgré sa forte connotation politique, le concerto pour trompette et orchestre Nobody knows de trouble I see de Bernd Alois Zimmerman intercalé entre les deux géants symphonistes s’inscrit pleinement, par ses influences jazz, dans un mouvement général optimiste. La jeunesse et le sens de l’expressivité de Lucienne Renaudin Vary, devant orchestre, font honneur à la trop rare tribune offerte à son instrument.
Devant un tutti à la coloration…