L »univers musical français regorge de duos emblématiques dont la
complicité transcende les simples collaborations artistiques. Par
conséquent, lorsque l’un des deux membres semble s’évaporer,
l’émotion envahit les fans. Les frères toulousains Florian et
Olivio incarnent depuis des années cette fraternité musicale
indéfectible.
Néanmoins, une récente mésaventure commerciale vient bousculer
cette belle harmonie apparente sur les rayons d’une enseigne
culturelle. En effet, une erreur d’étiquetage transforme le célèbre
duo en simple projet solo. Cette situation cocasse mérite
d’ailleurs qu’on s’y attarde pour comprendre comment pareille
confusion a pu surgir.
Un incident boutique qui aurait pu mal tourner pour Oli
Il y a plusieurs mois, le cadet du duo toulousain a vécu
une expérience pour le moins embarrassante. Ainsi, lorsqu’il
pénètre dans une Fnac parisienne en juin 2022, Oli souhaite
simplement acheter plusieurs exemplaires de leur quatrième album.
Son objectif demeure généreux puisqu’il compte distribuer ces
précieux disques aux admirateurs croisés dans les rues de la
capitale. Cependant, la sortie du magasin se complique rapidement à
cause d’un vigile méfiant qui l’interpelle sans ménagement.
« Il ne m’a pas donné le ticket le monsieur, je ne sais pas
pourquoi, mais je les ai payés hein ! », explique alors
Oli face au gardien incrédule. Par ailleurs, le
jeune artiste insiste auprès des deux professionnels présents sur
place. « En fait, c’est mon album qu’il y a dedans. Regardez la
pochette… Je vous jure, je n’ai pas volé ! Bigflo et
Oli, on s’appelle », déclare-t-il avec une pointe
d’exaspération. Heureusement, un vendeur reconnaît finalement le
rappeur et régularise cette situation ubuesque immédiatement.
D’ailleurs, cette anecdote préfigure une autre confusion
identitaire bien plus amusante encore.
Quand la Fnac réinvente le duo en effaçant la moitié du
groupe
L’enseigne culturelle propose régulièrement des packs
promotionnels regroupant plusieurs albums d’artistes pour séduire
les mélomanes. Pourtant, une récente initiative
marketing tourne au fiasco involontaire lorsqu’un pack
rassemble leurs deux derniers projets musicaux. Sur l’étiquette
commerciale, seul le prénom « BigFlo » apparaît tandis que
son frère semble s’être volatilisé mystérieusement. Cette bourde
monumentale n’échappe évidemment pas à l’œil affûté de l’aîné qui
découvre cette aberration surprenante.
Bigflo immortalise immédiatement la scène
grotesque et partage sa découverte avec ses nombreux
abonnés fidèles sur Instagram. De plus, il faut souligner
que Julien Doré compte parmi les artistes ayant
collaboré avec les deux frères. Les Toulousains ont
récemment révélé les dessous de leur featuring commun sans la
moindre réserve ni gêne. Cette proximité artistique rend d’autant
plus cocasse l’idée qu’Oli puisse disparaître des
radars commerciaux aussi facilement.
La réaction décapante de Bigflo face à
l’oubli flagrant d’Oli
Dans une story Instagram débordant d’ironie mordante,
Bigflo filme le pack litigieux avec un ton
faussement indigné. « Y’a des mecs à la Fnac qui ont fait un
pack avec nos deux albums. Et là, le mec, il n’a mis que BigFlo !
», s’exclame-t-il devant la caméra. Ensuite, il s’adresse
directement au responsable de cette erreur monumentale avec
une verve comique parfaitement maîtrisée. « Le mec qui
a fait ça… juste, tu ne travailles pas en fait ! On attend un
commentaire de la Fnac ! Tu as oublié la moitié du groupe… »,
lance-t-il avec une pointe d’humour ravageur.
Les internautes réagissent instantanément à cette bourde
commerciale en inondant les réseaux sociaux de commentaires
hilarants et décalés. Certains fans imaginent des scénarios fictifs
où Oli aurait effectivement disparu de l’existence
musicale du groupe emblématique. « C’est sûr qu’il bosse à
mi-temps », plaisante un internaute amusé par cette situation
rocambolesque particulièrement savoureuse. D’autres renchérissent
avec des jeux de mots audacieux tandis que la communauté célèbre
cette erreur involontaire. Cette anecdote rappelle finalement que
même les plus grandes enseignes culturelles ne
demeurent pas à l’abri de ratés.