C’est dans les années 90 que Carla Bruni a connu un succès
fulgurant dans le milieu du mannequinat. Et ce, juste après la
première vague de top-modèles composée de Linda Evangelista, Naomi
Campbell ou encore Christy Turlington. Claudia Schiffer, Helena
Christensen et Cindy Crawford sont elles aussi venues se greffer au
groupe. A l’époque, Carla Bruni a parcouru le monde entier et
naturellement fait de nombreuses rencontres dont celles de
plusieurs hommes qui ont fini par craquer pour elle.

Carla Bruni : un passé amoureux riche

Car en effet, avant de
se poser définitivement avec Nicolas Sarkozy
et filer avec lui
le parfait amour, Carla Bruni a eu une vie sentimentale
pour le moins agitée
. Parmi ses conquêtes ? Eric Clapton,
Mick Jagger, Jean-Jacques Goldman, Vincent Perez ou encore Raphaël
Enthoven avec qui elle a accueilli son fils Aurélien.

« Carla est la chasseuse, pas la
proie »
, a notamment confié dans les colonnes de
Vanity Fair un homme qui l »a connue adolescente avant d’ajouter
sans détour : « C’est un Don Juan au féminin ». Voilà qui a
le mérite d’être clair. Karl Lagerfeld, lui, ne s’est pas gêné pour
décrire le couple formé par Nicolas et Carla : « Ce sont des
chasseurs qui ont rencontré des prédateurs. Quand deux
comme eux se rencontrent, ça peut donner quelque chose de
bon »
. La suite de l’histoire l’a bel et bien
prouvé.

La chanteuse et mannequin « ne regrette rien »

Lorsqu’il s’agit d’amour et d’intimité, Carla Bruni n’y va pas
par quatre chemins et se fiche bien des
qu’en-dira-t-on
. Ainsi, dans les colonnes de Madame Figaro
en 2007, la chanteuse et mannequin dévoilait sa tendance à aimer
l’infidélité : « Je suis fidèle… à moi-même ! Je
m’ennuie follement dans la monogamie
, même si mon désir et
mon temps peuvent être reliés à quelqu’un et que je ne nie pas le
caractère merveilleux du développement d’une intimité. Je suis
monogame de temps en temps mais je préfère la polygamie et
la polyandrie
. L’amour dure longtemps, mais le désir
brûlant, deux à trois semaines ». Il aura finalement fallu
attendre sa rencontre avec l’ex-chef d’Etat pour que Carla
Bruni envisage la monogamie
.

Avant lui, la sculpturale brune a enchaîné les
conquêtes
et n’a visiblement aucun problème avec ça.
« Ce n’est pas que j’ai eu beaucoup d’amants. C’est que
je ne les ai jamais cachés. C’est différent. Je ne regrette
rien »
, admet-elle d’ailleurs toujours auprès de nos
confrères de Vanity Fair. Puis de préciser en toute transparence :
« J’entretiens d’excellentes relations avec mes ex. Je
suis restée en bons termes avec tous mes petits amis
.
Parfois, je suis la marraine de leurs enfants. Et je suis
toujours très amie avec leurs épouses ».

Carla Bruni défend sa position de
maîtresse : « Il y avait peut-être une dizaine d’autres femmes »

Toutes, sauf une : Jerry Hall. A noter que
cette dernière était engagée auprès de Mick Jagger et attendait
avec lui une petite fille. Malheureusement pour elle,
Carla Bruni est venue s’immiscer dans leur relation
en
fréquentant le leader des Rolling Stones. « J’ai failli faire
une dépression nerveuse. J’ai pleuré toutes les larmes de
mon corps quand Mick est sorti avec Carla Bruni
. J’étais
malade. C’était impardonnable », se souvenait-elle.

Carla Bruni, elle, s’était défendue comme elle le
pouvait
: « J’avais une vingtaine d’années, je ne
pensais pas à une relation. Mick fréquentait tellement
d’autres femmes. Je ne pense pas être responsable [de sa rupture
avec Hall]
… Il y avait peut-être une dizaine d’autres
femmes ». Suffisant pour se faire pardonner ?