L’enquête menée conjointement par l’Ofmin, service d’enquête spécialisé dans les violences faites aux mineurs, et l’Ocreth (Office central pour la répression de la traite des êtres humains), tous deux basés à Nanterre (Hauts-de-Seine), porte notamment sur la détention de milliers de fichiers pédopornographiques, mais aussi la production de ce type de contenu, impliquant de potentiels faits de viols sur mineur et de traite d’êtres humains, au Maroc et au Sénégal.