Longtemps psychologue auprès des détenus de la prison de Fleury-Mérogis, psychothérapeute et enseignant à l’institut de criminologie de l’université parisienne Panthéon-Assas, Laurent Caillard analyse la violence extrême déployée par l’auteur de la tuerie du lycée de Nantes. Elle se rapproche, pense-t-il, de mécanismes observés dans les cas de féminicides.

Un déchaînement comme celui observé au lycée de Nantes est-il fréquent dans les attaques au couteau ?