Par

Bertrand Bielle

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Journaliste

Curieux de nature, Bertrand est toujours à l’affut du moindre petit scoop. Passionné par le football, il n’est jamais bien loin du ballon rond et de toutes les actualités qui en découlent. Toutefois, l’évènementiel du showbiz ou de la politique fait également partie de ses recherches journalistiques privilégiées.

Carole Gaessler, qui est à retrouver ce mercredi soir sur France 2 où elle anime un débat sur les femmes sous emprise, a une passion économiquement intéressante, qu’elle partage avec environ 30% de la population française. Rien que ça ! De quoi s’agit-il ?

« J’y vais très souvent » : Entre Paris et son refuge du Sud, Carole Gaessler s’adonne à une activité de plus en plus populaire et économiquement à la portée de tous

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Suite à la diffusion du film L’Amour et les Forêts, de Valérie Donzelli, Carole Gaessler anime un débat consacré aux relations d’emprise dans lesquelles les femmes sont susceptibles de tomber. Celui-ci est à découvrir ce mercredi 26 novembre à 22h50 sur France 2. L’occasion de s’intéresser à l’animatrice des Racines et des Ailes, notamment à cette activité qu’elle adore, que ce soit à Paris ou dans son refuge du Sud, elle qui habite à temps partiel dans un village pittoresque de 1000 habitants dans le Luberon, où elle a posé ses valises il y a quelques années avec son époux Franck (avec qui elle est mariée depuis 1997, et mère de deux enfants : Margaux née en 1999 et Arthur né en 2011). 

« J’aime bien chiner aux puces. J’y vais très souvent. Et si vous y allez tôt le matin, vous pouvez trouver des petits objets art déco. J’avais trouvé une toute petite lampe avec de l’opaline, que je trouvais très mimi. Sinon, je n’ai pas grand-chose en Art déco. », confiait-elle ce mois-ci à nos confrères du magazine Télé-Loisirs. 

Carole Gaessler adore « chiner », elle n’est pas la seule en France et loin de là

Selon l’Ifop, 30% de la population française fréquente plusieurs fois dans l’année les brocantes et les vides-greniers. C’est ce qui est rappelé par France Inter. On pense notamment, en premier, à la fameuse Braderie de Lille, « la plus massive d’Europe ». Cette année, « elle a réuni près de 5 500 exposants pour 60 kilomètres d’étal ».

« Si les Français adorent les brocantes, c’est d’abord parce qu’ils adorent chiner, chercher sans savoir », indique France Inter. Mais c’est aussi parce que « se promener en brocante signifie chercher les bons plans et les petits prix pour soi et ses enfants, d’où la grande popularité des vêtements de sport dans ce qui se vend le plus en brocante« . Cela fait « partie d’une économie informelle, une économie de la débrouille et du troc dans laquelle se sont déjà engouffrés Vinted et Leboncoin ». Une activité qui est donc économiquement à la portée de tous.

« Chaque année, plus de 50 000 brocantes, foires et vide-greniers sont organisés sur l’ensemble du territoire. »