À partir du 26 avril 2026, la suite du film culte « Le Diable s’habille en Prada » arrive sur grand écran.
Le retour de cette comédie très populaire des années 2000 est très attendu par les fans de mode et des deux personnages principaux : Miranda Priestly (interprétée par Meryl Streep) et Andrea Schas (incarnée par Anne Hathaway).
Pourtant, un détail dans la bande-annonce a dérangé plus d’un internaute.
« Why is she wearing Valentino Rockstud shoes ? Like who is this ? Who is responsible for that nonsense ? », soit en français, Pourquoi porte-t-elle des chaussures Valentino Rockstud ? Qui c’est ? Qui est responsable de ce non-sens ?, est une réaction parmi tant d’autres sur les réseaux sociaux de téléspectateurs qui se questionnent sur le choix mode du personnage endiablé, Miranda Presley. En effet, dans la bande-annonce, dès le premier plan, Meryl Streep porte des escarpins rouges à clous, des Rockstud de la maison Valentino.
Si cette paire de chaussures est vue comme démodée par plusieurs amateurs de mode, d’autres ont une théorie. Certains affirment que le choix de ces chaussures, qui étaient des IT shoes des années 2010 pour la marque de luxe, ce qui leur a valu un succès phénoménal à l’époque, montrerait que la « Anna Wintour » du magazine fictif Runway, n’est pas forcément à jour sur les tendances, alors que d’autres défendent ce choix comme judicieux par le fait que cette paire puisse revenir au goût du jour.
« S’il y a bien une personne capable de lancer une nouvelle tendance chaussures, c’est Miranda Priestly »
Si la production n’a donné aucun commentaire suite aux réactions sur les réseaux sociaux, Julia Hobbs, rédactrice mode senior chez Vogue édition britannique, explique que lorsqu’elle a commencé de travailler pour le magazine de référence mode en 2011, « les Rockstuds étaient omniprésentes ». « Elles évoquent pour moi une profonde nostalgie », rapporte The Guardian.
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« Si je devais jouer l’avocat du diable, je dirais que je suis toujours partante pour un retour en force des chaussures vintage – si tant est qu’on puisse qualifier les années 2010 de vintage, ce qui est un autre débat. Et s’il y a bien une personne capable de lancer une nouvelle tendance chaussures, c’est Miranda Priestly », explique-t-elle.
La journaliste mode laisse d’ailleurs entendre que le film réserve de nombreuses surprises aux téléspectateurs.
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