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Plusieurs travaux récents ont notamment établi un lien entre la consommation – raisonnable – de café et un effet sur le vieillissement biologique.
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Boire trois à quatre cafés par jour ralentirait le vieillissement prématuré de personnes schizophrènes ou bipolaires, selon une étude. Si d’autres travaux ont fait le lien entre caféine et vieillissement en population générale, plusieurs limites relativisent ces résultats.
En matière de café, il y a le camp des « pour » et celui des « contre ». À grand renfort d’études scientifiques, chacun espère prouver qu’en consommer serait très bon pour la santé ou, au contraire, fort néfaste. Et pour cause : dans ce domaine très populaire – plus de 2 milliards de tasses de café par jour sont consommées dans le monde -, les études scientifiques abondent… et se contredisent. Parmi les bienfaits cités, plusieurs travaux récents ont notamment établi un lien entre la consommation – raisonnable – de café et un effet sur le vieillissement biologique. Une méta-analyse a ainsi montré que la consommation quotidienne d’environ trois tasses de café était associée à un allongement moyen de la vie de près de deux ans. Et une expérience in vitro a montré que la seule caféine (à différencier du café, qui implique d’autres composants) prolongeait la durée de vie de nos cellules, en activant des mécanismes de gestion du stress et de réparation.
Or, les personnes atteintes…
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