Le 29 septembre dernier, au tribunal correctionnel de Lyon, la procureure Audrey Quey a requis cinq ans de prison, dont deux avec sursis, et 50 000 euros d’amende, à l’encontre de Gaël Perdriau dans l’affaire du chantage à la mairie de Saint-Étienne. « Gaël Perdriau ne peut pas rester maire », a-t-elle estimé, en demandant cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire.

Trois jours avant, à la barre, Gaël Perdriau, tout en répétant qu’il était innocent tout au long du procès, avait annoncé qu’il démissionnerait en cas de condamnation.

>> Procès Perdriau : « Dès le début, il fallait que je sois coupable », dénonce le maire

Pour avoir le fin mot de l’affaire, il faudra patienter jusqu’au 1er décembre, date du…