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C’est ce que ce céréalier et producteur de fourrage de Charente limousine confie ce lundi soir dans le bilan de l’émission, sur M6. Ce qui devait n’être qu’un baiser d’au revoir sur le quai de la gare, à la sortie de l’avion, était en fait un baiser d’adieu et ça, il ne l’avait pas vu venir, accusant une petite déprime.
« C’était le big love »
Louise était pourtant le coup de cœur du candidat dès le speed dating. « Intelligente, cultivée, elle est sortie du lot », dès sa lettre et ses confidences sur la mort de sa mère, éclipsant très vite sa rivale. Entre les deux voisins géographiques, tout est allé vite.
« C’était le big love », confie le Charentais qui n’avait jamais « ressenti ça avec personne ». Un dîner au Tilleul des gourmets, à Chasseneuil, une rencontre avec les amis du paysan, une danse concluante et déjà les premières promesses, d’aller loin ensemble. « Après le tournage à la ferme, on s’est vu tous les week-ends. »
Une présence « apaisante et rassurante », jusqu’au week-end écossais sans aucun nuage, dont les images sont diffusées ce lundi soir. « Ça fait longtemps que je n’avais pas éprouvé ça pour quelqu’un », note la jeune femme. Julien, 35 ans, qui nourrit toujours le rêve « d’être papa avant 40 ans », se disait lui « heureux de partager un voyage avec quelqu’un, en étant amoureux ». « J’attends ça depuis un moment. »
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Mais quatre jours après le retour, Louise a espacé les échanges, jusqu’à disparaître. « Au téléphone, elle m’a expliqué qu’elle était perdue, que ça avait été trop vite pour elle ». Et que le rythme de vie de son soupirant, qui n’avait jamais caché son hyperactivité, était trop intense pour elle. Fin de l’histoire.
Mais le début d’une nouvelle jure Karine Lemarchand, l’animatrice phare de l’émission, certaine que Julien trouvera vite l’âme sœur. « Une femme piquante, avec du caractère et pas casanière », précise le candidat qui sera d’ailleurs présent aux Charentais de l’année le 11 décembre, à Carat. Il y trouvera peut-être de l’aide pour trier les candidatures !