Au moment de la prise de fonction, fin 2021, cette partie du musée avait été même citée en exemple, affirme Laurence des Cars au « Parisien ».

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Publié le 01/12/2025 19:29

Temps de lecture : 1min

La présidente du musée du Louvre, Laurence des Cars, à l'Assemblée nationale à Paris, le 19 novembre 2025. (BERTRAND GUAY / AFP)

La présidente du musée du Louvre, Laurence des Cars, à l’Assemblée nationale à Paris, le 19 novembre 2025. (BERTRAND GUAY / AFP)

« Pour moi, c’était un dossier clos. » La sécurité de la galerie d’Apollon du Louvre, théâtre d’un vol de bijoux à l’écho planétaire le 19 octobre, n’avait pas été signalée à la direction « comme un point de vigilance », a affirmé lundi 1er décembre au Parisien la présidente-directrice du musée.

Bien au contraire, au moment de sa prise de poste fin 2021, cette partie du musée lui avait été même citée en exemple. « On me dit que s’il y a une chose sur laquelle on peut être totalement rassurés, ce sont les joyaux de la Couronne », avec « trois nouvelles vitrines solides » remplacées lors de rénovations en 2018-2019, assure Laure. 

Révélé par Le Monde, un audit réalisé par le joaillier Van Cleef & Arpels pour le musée avait, dès 2018, décrit avec précision la faille potentielle que représentait le balcon emprunté lors du vol de bijoux, avec un mode opératoire correspondant à celui utilisé par les malfaiteurs. « Cet audit, je l’ai découvert le 23 octobre, quatre jours après le vol, après ma demande de la remontée de toutes les interventions sur 25 ans dans la galerie d’Apollon », a assuré la présidente du Louvre. Les bijoux demeurent toujours introuvables, mais la directrice se dit dite « optimiste » sur l’issue de l’enquête.