Après le «couac», comme l’avoue sa propre équipe de campagne, l’opération déminage. Ce mardi 2 décembre au matin, Martine Vassal, la candidate de la droite et du centre à la mairie de Marseille, a tenté d’éteindre la polémique consécutive à ses propos tenus la veille sur Sud Radio : «On verra à ce moment-là», avait répondu la présidente du département des Bouches-du-Rhône à la question d’une possible alliance, au second tour, avec le Rassemblement national. Sur Ici Provence et sur BFM TV face à Apolline de Malherbe, où elle est allée jusqu’à parler de «fake news», Martine Vassal s’est essayée, cette fois, à la clarté : «Il n’y a pas d’alliance, surtout pas