Des propos qui font suite à une sortie du chef du comité militaire de l’Otan Giuseppe Cavo Dragone le week-end dernier, dans les colonnes du Financial Times. « Se montrer plus agressif que notre homologue pourrait être une option », avait expliqué l’amiral italien, avant d’évoquer la possibilité d’une « frappe préventive » qui pourrait être vue comme une action de défense. « C’est plus éloigné de notre façon habituelle de penser et d’agir », avait-il tout de même nuancé. Des propos qui selon plusieurs spécialistes ont conduit à la réponse mardi du chef du Kremlin.