Comme le veut la tradition, Jean-Louis Brossard, le directeur artistique des Trans Musicales à Rennes, est monté sur scène, mercredi soir, pour accueillir le public et, d’un mot, lancer cette nouvelle édition du festival. L’endroit choisi est mythique : la salle de la Cité, qui abrite les trois premiers concerts de 2025, est celle où tout a commencé en 1979.

photo la soirée d’ouverture de l’édition 2025 des trans musicales avait lieu à la salle de la cité.  ©  elsa rancel / ouest-france

La soirée d’ouverture de l’édition 2025 des Trans musicales avait lieu à la salle de la Cité. Elsa Rancel / Ouest-France

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Trois nuits au Parc-expo

Sur scène, Paige Kennedy et son groupe, pour leur premier concert en France, donnent le ton : leur funk, teinté de rock et d’électro, fait déjà bouger les 800 spectateurs.

La jeune chanteuse et guitariste anglaise, malgré un français balbutiant, s’astreint à s’exprimer dans la langue de Molière. Sa voie enfantine de cartoon donne à son personnage un petit côté burlesque, voire excentrique.

photo mercredi lors de la soirée d’ouverture des trans musicales.  ©  elsa rancel / ouest-france

Mercredi lors de la soirée d’ouverture des Trans Musicales. Elsa Rancel / Ouest-France

Le public est conquis. Et, pour les Trans, la 47e édition est sur les rails avec, de jeudi jusqu’à samedi, les concerts gratuits du Liberté en fin d’après-midi, puis les trois nuits au Parc-expo.

Sans oublier la création commune, jusqu’à dimanche, des rappeuses Asfar Shamsi et Lynx IRL à l’Aire Libre.