Voyager aujourd’hui ne rime plus forcément avec long séjour ni grands moyens.
De plus en plus de Français privilégient les courts séjours en ville, pratiques, abordables et faciles à organiser. Selon une étude exclusive menée par Norstat pour easyHotel, cette nouvelle façon de voyager séduit toutes les générations. Et surtout, elle s’installe durablement dans les habitudes.

En clair : on part plus souvent, pour moins longtemps. Et ça change tout.

Le city-break devient une norme

Selon l’enquête, 100 % des personnes interrogées ont réalisé au moins un court séjour en ville au cours des deux dernières années.
Ce format séduit par sa souplesse : pas besoin de poser une semaine de congés ni de partir loin. Deux ou trois nuits suffisent pour s’évader, découvrir une ville, et revenir sans fatigue ni stress.

Les motivations sont claires : facilité d’organisation en tête, suivie par le prix, puis par l’envie de partir plus souvent dans l’année.
On mise sur des moments simples, mais réguliers, plutôt que sur un seul grand voyage annuel.

Un choix économique… et stratégique

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, voyager fréquemment ne coûte pas plus cher. L’étude révèle que 56 % des Français consacrent moins de 150 euros à l’hébergement pour deux nuits.
Ce nouveau rapport au voyage repose sur une logique simple : moins d’extravagance, plus de bon sens.

L’idée n’est plus de viser le luxe, mais le confort essentiel : une chambre bien située, calme, avec une bonne literie, à un prix accessible.
Un hébergement fonctionnel qui laisse de la marge pour profiter du reste du séjour : visites, restaurants, sorties culturelles.

Une envie marquée de redécouvrir la France

Autre tendance forte : les Français voyagent en priorité… en France.
Les courts séjours dans l’Hexagone sont trois fois plus nombreux que ceux dans le reste de l’Europe, avec une différence dépassant les 200 %.
Paris reste la destination la plus choisie, mais Lyon, Bordeaux, Nice ou Marseille attirent aussi de plus en plus de visiteurs.
Le besoin de proximité, combiné à l’envie de redécouvrir les villes du territoire, explique ce recentrage.

Et pour éviter la foule, le printemps et l’automne sont les périodes les plus appréciées : climat agréable, moindre affluence, conditions idéales pour profiter.

easyHotel, un acteur aligné avec ces nouvelles habitudes

Ce changement d’habitudes s’inscrit parfaitement dans la stratégie d’easyHotel.
Fondée en 2004, cette chaîne hôtelière économique mise sur des établissements sobres, bien situés et à faible empreinte carbone.
Elle exploite aujourd’hui près de 50 hôtels en Europe, pour un total d’environ 4 700 chambres.

En France, easyHotel est déjà présente à Marseille, Nice et dans la région parisienne, et compte bien renforcer sa présence dans les prochaines années.
L’Espagne, le Portugal et la France figurent parmi les priorités d’expansion du groupe, qui entend répondre à une demande croissante pour des séjours pratiques, accessibles, et bien localisés.

Leur approche est claire : rendre le city-trip plus simple, plus accessible et sans superflu. Comme l’explique Daniel Thompson, directeur marketing de la marque :

« Les escapades citadines reflètent une évolution vers des séjours plus courts et plus fréquents, qui privilégient la flexibilité et la gestion intelligente du budget. »

Une tendance appelée à durer

Ce que cette étude confirme, c’est une évolution de fond. Les Français n’abandonnent pas le voyage, bien au contraire.
Ils le repensent, l’ajustent, le rendent plus fréquent et plus adapté à leur rythme de vie.
Les séjours courts en ville permettent de s’évader sans contrainte, de découvrir sans fatigue, et de profiter sans excès.

Et dans ce paysage, easyHotel occupe une place cohérente, en proposant une offre qui correspond à cette envie de voyager plus souvent, plus simplement, à moindre coût, mais sans faire l’impasse sur le confort.