Le logo de la Ville de Lyon a été associé à la haine anti police et anti Bolloré – Captures d’écran Soulèvements de la Terre

Texte : Marco Polisson – Samedi soir, pendant la Fête des Lumières, des messages de haine ont été projetés sur la corniche du Musée des beaux-arts. Des projections parfaitement cadrées où l’on pouvait lire des slogans anti-police, dont raffolent les alliés d’extrême gauche de Grégory Doucet et Bruno Bernard.

L’action a été revendiquée par le mouvement écologiste « Les soulèvements de la terre » sur ses réseaux sociaux où l’on peut lire : « Ces messages rappelaient les violences policières, notamment à Sainte Soline ; ils visibilisaient la fascisation en cours de l’espace médiatique par Vincent Bolloré, et réagissaient à la présence de Jordan Bardella en meeting à Villeurbanne. »

« Nous nous félicitons de ce piratage de la Fête des lumières »

« Ces messages lumineux ont créé une réaction épidermique dans laquelle se sont engouffrés les médias mainstream (BFM en tête), la mairie de Lyon, la fachosphère et la préfecture. Nous nous félicitons de ce piratage de la Fête des lumières. Nous appelons à ce que se multiplient ce type d’initiatives créatives, encore et toujours, en soutien aux blessé·es de Sainte Soline, contre les violences policières police en général et contre le Rassemblement National. » concluent les activistes recherchés par la police.

Sur les réseaux, de nombreux internautes évoquent des complicités au sein même de l’organisation ou de l’installation. Les messages lumineux étaient parfaitement cadrés, ce qui nécessite la participation de professionnels avec du matériel performant. Les investigations policières permettront d’en savoir plus.

D’autre part, il est avéré que certains élus de la majorité écolo de la Ville de Lyon et de la Métropole de Lyon sont très proches de ce mouvement qualifié d’écoterroriste et qui devait être dissous. Une proximité scandaleuse dénoncée par Jean-Michel Aulas, Pierre Oliver et Jean-Stéphane Chaillet. Les habitants retiendront que que l’image de Lyon est à nouveau sérieusement détériorée par cette polémique nationale.