- Les jours à venir seront « cruciaux » pour le financement de l’Ukraine en guerre, a averti ce mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, à la veille d’un sommet des dirigeants de l’UE appelés à en décider.
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Minute par minute VON DER LEYEN : « DES JOURS CRUCIAUX »09:49
Les jours à venir seront « cruciaux » pour le financement de l’Ukraine en guerre, avertit la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, à la veille d’un sommet des dirigeants de l’UE appelés à en décider.
« Les prochains jours seront une étape cruciale pour y parvenir; il nous revient de choisir comment financer le combat de l’Ukraine, et nous en connaissons l’urgence », a-t-elle déclaré devant le Parlement européen à Strasbourg, dans l’est de la France.
AFPLE KREMLIN SCEPTIQUE06:15
Le Kremlin a estimé mardi que la participation des Européens aux négociations en cours sur le plan américain pour l’Ukraine « n’augure rien de bon », tout en affirmant ne pas avoir encore été informé des résultats des derniers pourparlers à Berlin.
« La participation des Européens, en termes d’acceptabilité (de l’accord par Moscou), n’augure rien de bon », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, cité par les agences de presse russes. M. Peskov a indiqué que la Russie devait « d’abord prendre connaissance » de ce qui a été élaboré lors des récentes négociations entre Ukrainiens et Américains avant l’organisation d’une nouvelle rencontre, avec sa propre participation, à ce sujet.
Le Kremlin a estimé mardi que la participation des Européens aux négociations en cours sur le plan américain pour l’Ukraine « n’augure rien de bon », tout en affirmant ne pas avoir encore été informé des résultats des derniers pourparlers à Berlin. « La participation des Européens, en termes d’acceptabilité (de l’accord par Moscou), n’augure rien de bon », a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, cité par les agences de presse russes.
M. Peskov a indiqué que la Russie devait « d’abord prendre connaissance » de ce qui a été élaboré lors des récentes négociations entre Ukrainiens et Américains avant l’organisation d’une nouvelle rencontre, avec sa propre participation, à ce sujet. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’était félicité lundi de « progrès » dans les négociations à l’issue de rencontres à Berlin avec les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner.
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Les Européens, soutiens de Kiev, ont de leur côté avancé une proposition parallèle qui implique le déploiement d’une force multinationale en Ukraine, des garanties semblables à celles de l’article 5 du traité de l’Otan pour Kiev et une armée ukrainienne forte de 800.000 hommes. Soit autant d’éléments considérés comme inacceptables par Moscou et déjà rejetés par le passé.
« Un durcissement des restrictions »
En parallèle, le Haut-Commissaire de l’ONU pour les droits de l’homme s’est inquiété mardi d’une diminution des libertés dans les territoires ukrainiens occupés par la Russie. « Dans les territoires occupés par la Russie, nos conclusions font état d’un durcissement des restrictions à la liberté de circulation, d’expression et de religion », a déclaré Volker Türk, devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
Il a souligné que l’accès à internet et aux services de messagerie a été encore « davantage limité ».
La rédaction de TF1info
