Les visages d’otages arméniens placardés sur les grilles de la mairie de Nice.

Ce mercredi 17 décembre 2025, Christian Estrosi avait réuni la communauté arménienne pour une cérémonie de soutien aux otages détenus en Azerbaïdjan.

Si les dernières nouvelles s’apparentent à un processus de paix entre les deux pays (signature d’un accord de paix, reprise des activités commerciales et des relations diplomatiques…), la question des otages est le grain de sable dans l’engrenage.

Certains procès ont déjà débuté

Depuis la prise de l’enclave arménienne du Haut-Karabakh par l’Azerbaïdjan en septembre 2023, 23 otages arméniens sont toujours détenus à Bakou.

Certains étaient responsables politiques du Haut-Karabakh, d’autres sont de simples civils.

Peu d’informations circulent, mais certains procès ont déjà débuté. Les otages comparaissent pour « terrorisme », « séparatisme » et « crimes de guerre », notamment.

« Un procès politique et programmé à l’avance », pour Armen Seropyan, vice-président du conseil de coordination des organisations arméniennes de France.

Le parlement européen a exigé leur « libération immédiate et inconditionnelle ».