Veronika Loubry traverse une douloureuse épreuve. Le 11 décembre dernier, en légende d’une vidéo compilant tous les beaux moments qu’elle a vécus avec son compagnon, Gérard Kadoche, elle a annoncé son décès des suites d’un cancer du pancréas. « L’amour de ma vie s’en est allé, après deux ans et 9 mois d’un combat que personne ne devrait affronter. Il est parti cette nuit, laissant derrière lui un silence immense, mais aussi la trace indélébile de son courage. Pendant son combat, mon guerrier a tout donné, sa force, sa dignité, son humour, même quand la douleur gagnait du terrain », postait-elle. Et d’ajouter : « Chaque jour, malgré la fatigue, malgré la douleur, malgré les 56 chimios, il trouvait encore le moyen de sourire, de me rassurer, de me conseiller et de m’aimer comme au premier jour ».
Dans cette épreuve, Veronika Loubry a pu compter sur le soutien de Karine Le Marchand, l’une de ses plus proches amies. « Ma Véronika Loubry, je t’aime ma guerrière. Il y a une semaine, ma sœur du Sud, un gouffre s’est ouvert sous tes pieds, et nous avec toi, nous avons tous chancelé », lui disait-elle sur Instagram. Ce mardi 23 décembre 2025, la comédienne a pris la parole pour donner de ses nouvelles, quelques jours après la disparition de son bien-aimé. « Je suis très, très bien entourée, vraiment très bien entourée. Les 463 messages WhatsApp que j’avais reçus, il m’en reste 130. Tous les jours, je réponds. Je prends du temps. J’ai des phases où j’ai besoin d’être seule, c’est normal et puis il y a des phases… Par exemple cette nuit, j’ai travaillé jusqu’à trois heures sur les collections (…) J’ai besoin d’avoir mon esprit occupé« , a-t-elle commencé.
« J’ai des coups de gueule à passer » : Veronika Loubry en deuil, elle promet de faire une mise au point après le décès de son compagnon
Dans la suite de sa prise de parole, elle a tenu à faire passer un message important. « Ce que les gens pensent, je m’en fous (…) Il n’y a rien qui va me contrarier (…) J’ai pris des bonnes résolutions », a-t-elle indiqué, comme celle de marcher pour « extérioriser » sa peine. Elle a conclu par ces mots : « J’ai beaucoup de choses à vous dire, j’ai des coups de gueule à passer« .