DÉCRYPTAGE – Elles font le bonheur des meilleurs, mais pourraient, dans un avenir proche, mettre en danger le circuit traditionnel en le dérégulant totalement.
Elles ont fait parler en 2025, elles feront parler en 2026. L’intersaison du mois de décembre est, d’ordinaire, synonyme de repos, puis de préparation pour la saison suivante. Si 2026 débute officiellement le 2 janvier par l’United Cup en Australie, les exhibitions, déjà nombreuses au cours de l’année, ont été plus que jamais légion en ce mois de décembre. Et les stars du circuit, Carlos Alcaraz en tête, n’ont pas résisté à l’appel du dollar. Difficile de les blâmer.
Plus problématique, c’est quand ce même Alcaraz se plaint du calendrier ATP (l’instance qui régit le circuit pro) surchargé et des cadences « infernales ». L’Espagnol (il n’est pas le seul) a déjà fait planer la menace de jouer moins souvent les tournois obligatoires comme les Masters 1000, les épreuves les plus prestigieuses derrière les Grands Chelems. Pas d’impasse programmée en revanche pour les exhibitions les plus lucratives. Le numéro 1 mondial avait disputé la Laver Cup mi-septembre, puis le Six Kings Slam et sa…
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