VIDÉO – Sur le plateau du «Buzz TV», la journaliste médias de RTL s’est confiée sur sa vie depuis la mort de son époux Alain, en mars dernier.

Isabelle Morini-Bosc  est l’invitée du «Buzz TV» ce mercredi 30 avril. La journaliste médias RTL et ex-chroniqueuse de «Touche pas à mon poste !» fait partie du casting exceptionnel des 35 ans de «Fort Boyard» diffusé le 1er mai sur France 2 et composé de Jean-Pierre Castaldi, Alexia Laroche Joubert ou encore Norbert Tarayre. «Cette fois-ci, je ne me suis rien brisé», sourit la femme de 68 ans. Un tournage plein de surprises qu’elle se remémore avec plaisir et dont le produit fini sera diffusé ce jeudi 1er mai à 21h10 sur France 2.

Pour cette édition anniversaire, toujours présentée par Olivier Minne, les épreuves promettent des séquences gags à l’image de celle que nous a partagée Isabelle Morini-Bosc. «Je n’aurais pas pu faire le truc dans la boue, qu’Alexia (Laroche Joubert, ndlr) a fait avec Norbert Tarayre qui, a un moment donné, ne savait pas où se raccrocher et a accroché… (ses testicules, ndlr.). Il a saisi le truc qui était le plus proche de lui, il avait la tête dans la boue, il était en train de s’asphyxier», raconte-t-elle.

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«Je sens surtout l’absence»

Bien loin de ces souvenirs de joyeuse camaraderie, notre invitée est revenu sur le décès de son époux Alain survenu en mars dernier après 47 ans de vie commune. Au micro de nos journalistes, Isabelle Morini-Bosc s’est confiée sur son quotidien sans son mari, un ancien ingénieur. «Il m’arrive de regarder chaque soir des trucs et de me dire : “oh tu as vu ?” Eh bien non, il y a sa photo sur le guéridon mais je parle à sa photo», explique-t-elle avant de souligner : «Il y a quelqu’un qui disait l’autre jour : “on a beau dire qu’on sent sa présence”, non, on sent surtout l’absence. Et moi je sens sa présence mais je sens surtout l’absence», indique-t-elle.

Enfin, la journaliste, qui s’habille toujours en rouge, a mis les choses au clair à propos des raisons du décès d’Alain Morini. «Tous les médias ont dit qu’il était mort d’une leucémie, c’est faux. […] C’est le cœur qui n’a pas tenu. Les deux opérations à cœur ouvert ont raté et puis, après on l’a “fait durer”. Mais ce n’était pas prévu que ça arrive là, ça allait plutôt mieux. Il continuait à faire des sudokus, des mots fléchés», précise Isabelle Morini-Bosc.