RÉCIT – Plusieurs membres avérés de cette organisation criminelle sont soupçonnés d’avoir organisé les attaques contre les prisons françaises.
À l’issue des 96 heures de garde à vue des 30 individus interpellés ces derniers jours, le diagnostic des enquêteurs et de la justice est clair : la criminalité organisée a initié, puis fait prospérer la centaine de faits de violence contre les prisons de France et leurs agents survenus ces dernières semaines.
Cela explique pourquoi le Parquet national antiterroriste, qui a mis au service de l’enquête tous ses moyens d’action, se soit dessaisi du dossier vendredi, après n’avoir caractérisé « aucune idéologie radicale violente, aucune ingérence étrangère, pistes qui ont été pleinement explorées », a-t-il fait savoir dans une communication commune.
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