La mannequin slovaque s’est confiée à Lou Media sur l’implication de son nouveau compagnon, le chanteur des Yeux Revolvers, dans une interview publiée sur Instagram le 6 mai.

«Moi, je suis un package, affirme Adriana Karembeu. C’est moi et ma fille, on prend ou on ne prend pas.» Ce package, Marc Lavoine semble l’avoir pris à bras-le-corps, lui qui a récemment décrit sa nouvelle compagne au journal Le Parisien comme «un miracle». Invitée à réagir aux mots du chanteur lors d’une interview accordée à Lou Media, le 6 mai, la mannequin n’a pu s’empêcher de rougir lorsqu’elle a déclaré : «c’est beau. Lui aussi c’est un miracle».

Officiellement ensemble depuis bientôt un an, la mannequin slovaque et le chanteur des Yeux Revolvers semblent avoir eu le coup de foudre. Pour le reste, la mère de Nina, 7 ans, n’hésite pas à mettre des coups de frein.

 »
data-script= »https://static.lefigaro.fr/widget-video/short-ttl/video/index.js »
>

L’amour après 50 ans

Quand on lui demande s’il est possible de retrouver l’amour à 50 ans, elle qui en a 53, elle répond joueuse : «vous êtes sérieuse, vraiment ?», avant de se livrer à quelques confidences. «C’est arrivé à ma mère et à l’époque je me suis dit “oh la la maman, mais qu’est-ce que tu fais ? C’est trop tard !” Et puis il m’est arrivé la même chose.»

«Plus libre» depuis qu’elle a passé les 50 ans, Adriana Karembeu affirme avoir à cœur d’être «une maman heureuse». Mais si l’amour dans les bras de Marc Lavoine semble remplir cette mission, c’est à condition d’inclure sa fille dans l’histoire. Pour rappel, la mannequin slovaque est maman d’une petite Nina, 7 ans, née de son mariage avec l’homme d’affaires André Ohanian dont elle a divorcé en 2022.

Amoureuse mais modérée

«Moi, je suis un package, dit-elle sans concession. C’est moi et ma fille, on prend ou on ne prend pas. Si jamais ce n’est pas accepté, c’est juste mort. Il n’y a pas de possibilité.» Toutefois, quand on l’interroge sur le fait qu’elle attende de son nouveau compagnon qu’il soit aussi un beau-père pour sa fille, elle répond en mimant de freiner : «ça, on ne sait pas, vous allez trop loin, c’est le début !»