Invité sur les ondes de Nostalgie, l »animateur octogénaire s’est
remémoré sa première rencontre avec la star québécoise. C’est en
1983, sur le plateau de « Champs-Élysées », que
Michel Drucker
accueillait pour la première fois une jeune
Céline Dion, alors âgée de seulement 14 ans. Ce passage télévisé
marquait les débuts de l’artiste sur les écrans français, bien
avant qu’elle ne devienne l’icône mondiale que l’on connaît
aujourd’hui.

Une enfance marquée par la précarité


Le présentateur de « Vivement dimanche »
a dévoilé des souvenirs
particulièrement touchants de ses visites chez les Dion à
Charlemagne, au Québec. « Ils étaient 14 dans la famille et ils
avaient du mal à joindre les deux bouts », a confié Michel
Drucker, soulignant ainsi la pauvreté dans laquelle grandissait la
future star.

L’animateur a notamment partagé une anecdote poignante sur les
conditions de vie de cette nombreuse famille. « Dans la petite
maison de Charlemagne, que Céline Dion m’a fait visiter, le soir,
ils enlevaient les tiroirs des commodes », a-t-il raconté avec
émotion. Face à Jean-Luc Reichmann, il a poursuivi en expliquant
comment la famille improvisait pour loger tous les enfants :
« Ils vidaient les tiroirs, mettaient des oreillers, et s’en
servaient comme lits pour les nourrissons. »

Des nouvelles encourageantes pour les
fans

Malgré une relation moins étroite aujourd’hui, Michel Drucker
reste informé de l’actualité de la chanteuse. En effet, il a révélé
maintenir un contact indirect avec l’artiste : « J’ai des
nouvelles par son attaché de presse », a précisé le
présentateur vedette.

Le plus réjouissant pour les admirateurs de
Céline Dion
concerne son éventuel retour sur le devant de la
scène. « Je crois qu’elle va faire un album », a laissé
entendre Michel Drucker, avant d’ajouter : « Depuis la tour
Eiffel et les Jeux Olympiques, je me demande si elle n’est pas
capable de revenir. » Ces propos laissent présager une possible
renaissance artistique pour la diva québécoise qui traverse, depuis
plusieurs années, des épreuves personnelles et de santé
particulièrement éprouvantes.

Cette confidence de Michel Drucker illustre parfaitement le
parcours extraordinaire d’une artiste partie de rien pour atteindre
les sommets.