Une semaine après une émission très commentée, Quelle Époque a
repris l’antenne sur France 2 avec une ouverture pour le moins
piquante. Léa Salamé a pris soin de revenir, sans jamais les
nommer, sur les débats suscités par les séquences impliquant Louis
Sarkozy et Nicolas Bedos. Le tout avec humour et un sourire en
coin.
Une phrase bien sentie dès l’ouverture
Ce samedi 10 mai, dès les premières minutes de Quelle Époque,
Léa Salamé a interpellé son chroniqueur Paul Saint-Sernin avec une
phrase qui n’avait rien d’anodin : « Comment ça va mon petit
Paul ? Grosse semaine dites-moi… » Si ce dernier a d’abord
répondu en évoquant un déplacement professionnel en Corse et la
qualification du PSG en finale de la Ligue des champions, la
journaliste, elle, avait un tout autre sujet en tête.
Léa Salamé a alors insisté : « Je ne parlais pas que de ça
moi… Grosse semaine quand même, on a beaucoup parlé de vous. Il y
en a qui ont aimé, il y en a qui n’ont pas aimé… » Une
allusion claire aux nombreuses réactions suscitées par l’émission
du 3 mai. Paul Saint-Sernin a tenté de balayer la polémique avec
humour : « Moi je n’ai vu que des gens qui ont aimé, je suis
trop content. » Une manière de minimiser les critiques, tout en
confirmant que les séquences en question n’étaient pas passées
inaperçues.
Louis Sarkozy interrompu, Nicolas Bedos
recadré
La semaine précédente, Quelle Époque avait provoqué de
nombreuses réactions sur les réseaux sociaux et dans la presse.
Deux séquences, en particulier, ont retenu l’attention.
D’abord, celle de
Louis Sarkozy, venu présenter son ouvrage. Alors qu’il tentait
d’engager un débat sur des sujets politiques sensibles, Paul
Saint-Sernin l’a coupé court en disant : « Léa, tu sais que ton
père c’est un voleur ? Parce qu’il a pris toutes les étoiles dans
le ciel et les a mises dans tes yeux. Louis, tu sais que ton
père c’est un voleur ? Voilà, c’est tout”.
Ensuite, c’était au tour de
Nicolas Bedos, de subir les vannes de l’humouriste de 33
ans : Tout l’argent récolté grâce à la vente de ce livre va
être reversé à une association de victimes. Tu ne le sais pas, je
viens de le décider”. Une remarque à laquelle le principal
intéressé à réagi avec agacement en disant : “C’est sérieux ce
qu’on dit, c’est sérieux”.