Le nouveau pape est un citoyen américain, et son pays est l’un des rares à imposer un impôt sur le revenu à tous, y compris ceux partis à l’étranger.

Le nouveau pape Léon XIV a beau être au service de Dieu, il n’échappera pas au fisc américain. L’élection de ce cardinal à la double nationalité américaine et péruvienne pose la question inédite du paiement de l’impôt sur le revenu pour le souverain pontife, les États-Unis étant l’un des rares pays au monde à taxer tous ses citoyens, y compris lorsqu’ils vivent à l’étranger. Alors que les papes ne paient jamais d’impôt, Léon XIV serait-il le premier à y être soumis ?

Pour peu que l’on soit citoyen américain, même par simple droit du sol alors qu’on n’y a jamais vécu, il est impossible d’échapper au redoutable Internal Revenue Service (IRS), qui traque les revenus et comptes bancaires des expatriés jusqu’au bout du monde. Les États-Unis…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 74% à découvrir.

Le Figaro

Je m’informe, je m’inspire, je m’abonne.

Découvrez notre offre de bienvenue.

Déjà abonné ?
Connectez-vous