ANALYSE – Le premier déplacement du président américain vise à engranger les « deals », mais aussi à resserrer les liens étroits entre son Administration et les monarchies du Golfe.
Le premier voyage officiel du second mandat de Donald Trump le ramène dans sa région de prédilection. Comme en 2017, sa première visite présidentielle est réservée à ses partenaires et alliés de la péninsule arabique. Monarchies riches et influentes, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et le Qatar sont en mesure de fournir à Trump ce qu’il recherche : des accords commerciaux éclatants, un accueil fastueux et dépourvu de critiques ou de manifestations d’opposants, et leur aide diplomatique dans les trois crises qu’il souhaite résoudre : le conflit israélo-palestinien, la guerre d’Ukraine et le dossier du nucléaire iranien.
La porte-parole de la Maison-Blanche Karoline Leavitt a annoncé « un retour historique au Moyen-Orient ». « Le président Trump revient huit ans plus tard pour réaffirmer sa vision d’un Moyen-Orient fier, prospère et qui réussit, où les États-Unis et les nations du Moyen-Orient entretiennent des relations de coopération et où l’extrémisme vaincu est…
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